Et, oui, grâce à Monsieur Benoît Hamon, ministre « frondeur », et sa réforme des rythmes scolaires nous arrivons, comme ici pour les communes de Foix et Montgailhard, à la mise sur le « marché public » de l’éducation « périscolaire ».
C’est l’association « Les Francas » qui a obtenu le marché, mais cela aurait pu être une société privée. Que priviligieront les municipalités ? Le « mieux-disant » ou le « moins-disant » ? Pourquoi pas, la création, bientôt, de « Veolia-éducation » ?
En continuant, pourquoi ne pas ouvrir au « marché public » le recrutement des enseignantEs remplaçantEs ? Et toute l’éducation...
Raison de plus pour lutter contre cette réforme des rythmes scolaires dont l’effet principal est d’aggraver les inégalités sociales et les inégalités entre communes.